lowjeu Lord of War - Que la légende commence... |
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| [Animation 2] Vos créations | |
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+3shikamaru63 mother35 Aarion 7 participants | Auteur | Message |
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Aarion Super Lord
Nombre de messages : 469 Age : 36 Localisation : Toulouse Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: [Animation 2] Vos créations Mer 5 Déc - 0:31 | |
| Postez ici vos RP concernant la première épreuve de l'animation 2 !
Aucun autre post ne sera toléré ! | |
| | | mother35 Lord
Nombre de messages : 56 Age : 74 Date d'inscription : 09/10/2007
| Sujet: Re: [Animation 2] Vos créations Mer 5 Déc - 8:37 | |
| Oyez! Oyez ! Brave gens le seigneur Mother confie son royaume au premier chancelier. Toute exaction ou toute trahison en son absence sera punie de mort!
La horde des douze chefs de guerre conduite par Mother franchit les limites de son immense domaine à la tombée de la nuit. Les chevaliers décidèrent d’établir le camp dans la première clairière venue. La lune était absente et juste une faible lueur éclairait le bivouac.
On entendait tout près la rivière des Sortilèges s’écouler tumultueusement.
_ Lubéron tu es le plus jeune de notre équipée, tu as le cœur pur, mène boire les chevaux à la rivière ordonna Mother.
Lubéron s’exécuta sans craindre les fées maléfiques qui hantaient les abords du rivage. Son innocence le rendait invincible. Les treize chevaux se délabrement lorsqu’il entendit un bruit près de lui, un glissement. Un énorme serpent se glissait dans les roseaux. Il éleva sa tête lentement vers Lubéron et ses yeux le fixèrent un moment.
Lubéron sentit le maléfice l’envelopper et du fond de son cœur pria la déesse Sélène de l’en délivrer. Une lumière blanche aveugla le serpent et quelques mots furent lancés : _ Tu es fort aujourd’hui, les dieux te protègent mais la forêt est profonde et la lumière bientôt ne passera plus entre les branches. Alors moi Scylla, reine des ténèbres, je vous dévorerai le cœur un par un, toi en dernier…
Fort éprouvé Lubéron ramena les chevaux près du feu et rapporta au seigneur Mother les propos de Scylla.
_ Fort bien jeune chevalier, nous saurons affronter le démon. Bonne nuit… Au petit matin la troupe reprit son galop et s’enfonça dans la forêt, non sans penser au message terrible de Scylla.
Vers midi, le soleil étant au zénith, le seigneur ordonna l’arrêt de la troupe dans une clairière où se dressait un amoncellement de ruines.
_Que chacun de vous se mette à l’ouvrage il faut restaurer ce temple avant la nuit ordonna Mother.
Deux heures plus tard l’ancien édifice se dressait à nouveau dans la clairière, mais il manquait une pierre.
Il faut retrouver la pierre qui porte le nom de la déesse avant la nuit, chercher Chevaliers, il y va de notre vie à tous!
En cercle autour du temple les hommes cherchaient la pierre en s’éloignant de plus en plus. Peu à peu, les ténèbres envahissaient la forêt. Lubéron aperçut une luciole qui courait dans l’herbe. Il s’approcha et vit qu’elle était une fée minuscule, gracieuse et légère qui voletait dans les herbes. _ Veux-tu danser avec moi beau jouvenceau?
Lubéron se souvint de ce que les anciens lui avait enseigné : « Ne danse jamais avec une fée, si belle soit-elle, sinon tu ne pourras jamais plus t’arrêter de danser, seul la mort te délivrera… » _ Je voudrais bien mais je dois d’abord trouver la pierre de Sélène et la rapporter à mon seigneur. - Regarde cette pierre est près de toi, rapporte la vite, après nous danserons… Tu es si beau, j’ai hâte de danser avec toi!
Aussitôt Lubéron s’empara de la pierre et la porta triomphant à son seigneur. _ Comment as-tu fait? _ J’ai promis une danse à la fée qui me l’a donnée. Mother déposé la pierre manquante sur le frontispice. Aussitôt un chemin de lumière s’illumina tandit qu’un hurlement terrible retentissait tout près des chevaliers. Scylla est vaincue mais il reste la fée de Lubéron dit Mother.
_ Chevaliers faites cercle avec moi autour de lubéron et que personne ne brise le cercle . Lubéron ne doit pas sortir du cercle quoiqu’il arrive.
La fée apparut alors dans toute sa splendeur, avec la taille normale d’une jeune fille. Elle souriait enjôleuse et s’approcha de Lubéron. Une musique céleste retentit et tous deux se mirent à danser.
Au petit matin, Lubéron se laissa tomber sur l’herbe épuisée. La Fée se pencha sur lui et lui murmura : Viens avec moi, plus loin nous danserons la plus belle des danses, la danse éternelle, suis-moi! Lubéron se redressa et voulut suivre la fée, mais le cercle des chevaliers se resserra telle une chaîne et le retint. Lubéron eut beau supplier aucune main ne se relâchat. _ Je ne peux plus t’attendre mon beau chevalier le jour se lève , adieu!
_ Le maléfice est rompu, reposez-vous tous un peu, puis nous suivrons le sentier que la bonne déesse a éclairé pour nous.
Le regard de Mother s’attarda sur Lubéron un instant : Peut-être mon successeur se dit-il.
Dans l’après midi ils atteignirent enfin les ruines annoncées par l’éclaireur.
Deux colonnes immenses, recouvertes de ronces et de lierre encadraient l’entrèe de ce qui semblait être une grotte ou un palais troglodyte. Ils attachèrent leurs chevaux et les treize chevaliers entrèrent dans le sombre édifice. Des torches disposées à l’entrée leur permirent de s’éclairer pour pénétrer dans ce lieu sombre et étouffant. Une salle circulaire avec au centre un escalier où les chevaliers s’engouffrèrent les uns à la suite des autres. Prudence chevaliers, le traître nous y attend! Je passe le premier dit Mother, suivez-moi!
Ainsi firent-ils. Le couloir était étroit et les chevaliers progressaient difficilement. Les torches allaient s’éteindre lorsque tout-à-coup, ils entendirent une horrible rire de fou. Devant eux dans une autre salle , Aldebaran vociférait : _ Ainsi j’ai tout perdu pour ce fatras de vieux parchemins…
Tu brûles ta vie par les deux bouts disait mon vieux père et bien aujourd’hui je fais comme ma torche je m’éteins…
Aldébaran sans plus rien dire se passa son épée au travers du corps.
_ Il m’a évité de salir ma lame dit Mother.
Alors qu’il disait ces mots une douce lumière dévorait les ténèbres qui s’étaient installés.
Des monceaux de parchemins apparaissaient sur des étagères, des planchers jusqu’au plafond de la voûte.
Nous avons risqué de mourir pour ces vieilleries dirent les chevaliers. Tous sauf Lubéron qui ouvrit quelques parchemins.
_ Seigneur, ce sont les premiers mots de la création de notre monde, ces parchemins avaient disparus depuis que le sorcier Aaron les avait volé.
_ Tu as deviné, ici est le savoir disparu des anciens, c’est le trésor de notre humanité. Je te nomme gardien suprême de ce lieu Lubéron, jusqu’à ce que je retrouve notre mage que le sorcier Aaron a fait disparaître. Il détient les clefs de notre avenir.
Notre quête n’est pas finie, en route Chevaliers!
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| | | shikamaru63 Lord
Nombre de messages : 96 Age : 38 Date d'inscription : 02/11/2007
| Sujet: Re: [Animation 2] Vos créations Mer 5 Déc - 15:38 | |
| Par shikamaru63.
Un éclaireur arrive en trombe dans votre grande-salle d'audience et vous apprend la découverte de ruines de style ancien à quelques miles de votre village. Vous partez à la découverte de ces ruines et racontez son exploration, les péripéties, les pièges, et enfin la découverte d'une bibliothèque en bien mauvais état...
Comme tous les jours, j’étudiais de nombreuses cartes des contrées environnantes pour pouvoir défendre ma cité en cas d’attaque ennemi, de garantir la sécurité des citoyens et élaborer de nouvelles stratégies militaires contre les opposants à la justice et à la liberté. Aujourd’hui pourtant, alors que je discutais avec mes chefs militaires de la meilleure façon de désarmer la guilde des marchombres avec qui nous étions en guerre, le tumulte dans le couloir éveilla fortement ma curiosité. En effet, il était rare que l’on me dérange lors de réunion comme celle-ci :
« Qui est le responsable de ce vacarme !?GARDES ! Faîtes entrer le coupable de tout ceci ! »
Les deux gardes situés de chaque côté de la porte ouvrirent les deux battants. A peine entrouverte, un soldat, mal en point entra précipitamment dans la salle. Il esquiva les deux gardes surpris puis, arrivé à ma hauteur, s’agenouilla devant moi. Son état était inquiétant : un pansement de couleur rouge bandait son œil droit, il puait le sang coagulé et la transpiration et avait des ecchymoses sur la totalité du corps. Je soupçonnais même une ou deux côtes fêlées vu la grimace qu’il esquissa lorsqu’il se baissa.
« Quelles sont les nouvelles que tu m’apportes soldat? « Sir, pardonnez mon arrivée aussi abrupt mais c’est une nouvelle de la plus haute importance ! L’unité 14, sous les ordres du sergent Brörin et dont je faisais moi même parti, effectuait une mission de reconnaissance à quelques miles de la cité lorsque nous sommes tombés sur un groupe de maraudeurs mal intentionnés. Le combat était à notre défaveur : bien que mieux préparé aux arcanes de la guerre, nous étions en trop petit nombre. Le sergent Brörin tomba au combat transpercé par une flèche perdu juste après avoir sonné la retraite.
« Maudit sois ces vauriens. Le sergent Brörin était un bon élément et un ami. Cet acte ne restera pas impuni. Mais continu ton récit soldat.
« Peu d’entre nous réussir à s’échapper. Prenant la tête des rescapés, nous nous sommes abrités aux couverts des arbres. Puis à proximité du village du seigneur Fatoo je suis tombé dans une crevasse d’où mon état. Bien qu’étant étourdi et blessé, ce qui m’entourait était incroyable. Je crois, sir, avoir découvert des vestiges d’un ancien village des Anciens. »
Je restais secoué à cette nouvelle. Mon intérêt pour les anciens était tel que le Roy Ier m’avait octroyé le titre de scribe pour avoir déchiffrer d’anciennes runes.
« Cette découverte me réjoui ! Je vais aller vérifier par moi même si ces ruines sont belles et bien de style ancien. Straîl, mon page, fait préparer un repas chaud, et un bain pour ce soldat. Il l’a bien mérité. Veille aussi à ce que ses blessures soient soignées et qu’il prenne du repos. Mais avant tout, jeune soldat, indique moi sur la carte l’endroit exact de ces ruines.
« Bien sir, merci sir. »
Le lendemain matin, à la tête d’un bataillon entier d’elfes noirs, je parti sur le site des Anciens, armée des indications précieuses du soldat rescapé. En chemin, je fus heureux de rencontrer les malandrins qui se sont attaqué à une de mes unités. La bataille fut brève et je constatais que bon nombre d’entre eux portais le blason des marchombres ce qui renforça mon aversion envers cette guilde. Sans aucun autre incident, nous arrivâmes à la crevasse au moment où le soleil était à son zénith. Impatient de fouiller cet endroit, j’ordonnai tout de même à mes hommes d’établir un campement et de sécuriser le périmètre. Après avoir déjeuner, nous nous mimes en route pour explorer le site. Pas de doute : c’était autrefois un village d’Anciens. Ce qui fut jadis une cité n’était plus qu’une ombre de ce qu’elle avait pu être, cependant rien n’avait perdu de sa beauté. On pouvait aisément imaginer la splendeur de cette ancienne cité. Errant dans les rues encore intactes, mes pas me conduisirent à ce qu’il semblait être la place du village. Une immense fontaine assécher siégeait au centre de la place, où figurait un immense dragon. Son aile restante était déployée et sa gueule était grande ouverte et donnait l’impression que l’on aller se faire dévorer. Le reste de la place était constitué, d’ancienne échoppe, de maison, de magasin et de stand délabré. Soudain, un sentier, qui m’avait échappé jusque là attira mon attention. Serpentant à travers les arbres, et ne sachant à quoi m’attendre, je jugeais nécessaire de prendre un groupe d’elfes pour aller voir où ce chemin menait. Accompagné d’une dizaine d’elfes et de ma fidèle épée que je serrais à pleine main, nous nous aventurâmes sur ce sentier inconnu. N’ayant fait aucune mauvaise rencontre, nous arrivâmes bientôt devant un gigantesque bâtiment qui me laissa bouche bée tellement sa beauté me mis à nu… Pourtant je ne pu m’extasier très longtemps car à peine arrivé sur le site, une pluie de flèche s’abattis sur notre petit groupe. Brandissant nos boucliers pour échapper à cette pluie mortelle, nous battions en retraite pour se mettre à l’abri, au couvert des arbres. Un elfe fut abattu transpercé au cœur, et un autre blessé en recevant une flèche dans la jambe.
« Vous deux, rapportez le blessé au camp et faites venir un détachement d’elfes, les plus expérimentés dans le maniement de l’épée et de l’arc. Faîtes vite !!! »
Ils partirent aussitôt, le plus rapidement possible que le pouvait deux elfes portant un troisième, blessé.
« Restez concentré sur le bâtiment, les tirs venaient du toit. Il faut maintenant savoir qui nous en veux comme ça ! »
Malheureusement pour nous, il fut impossible de savoir qui avait ordonné l’attaque même après avoir essuyé deux autres salves de flèches. Après une interminable attente, un régiment complet d’elfe nous rejoignit.
« A vos ordres sir.
« Bien que vos archer se mettent en ligne. Vous allez nous couvrir pendant que nous allions traverser la distance qui nous sépare de la bâtisse. Prêt ? Chargez !!!!!! »
Prenant la tête de notre groupe d’assaut, nous nous précipitâmes vers la forteresse têtes baissées et le plus rapidement possible. Deux salves de flèches nous passâmes au dessus de la tête ce qui nous permis d’arriver aux pieds des murs du bâtiment.
« Aucune perte ??
« Non sir.
« Très bien. Il nous est impossible de passer par la porte principale. Elle est verrouillée de l’intérieur et nous ne disposons pas de bélier pour la défoncer. Nous allons donc passer par les toits. Cette bâtisse tombe en ruine et les prises pour grimper sont faciles d’accès. Montrer à nos ennemis l’agilité des elfes à se mouvoir dans les airs !!!!! »
Rangeant nos épées dans leur fourreau, nous commencions notre ascension. Comprenant nos intentions, nos ennemis entreprirent de nous décocher des flèches. Mais anticipant cette action, les archers elfes restés en retrait tirèrent de nouvelles salves de flèches qui cette fois firent des dégâts. Plusieurs personnes tombèrent des remparts et s’abattirent lourdement sur le sol. En jetant un coup d’œil vers la terre ferme, il s’avéra que nos ennemis étaient composés de trolls et d’orques. Tout deux de petites tailles, mais néanmoins costaud, ils avaient la peau noir ainsi que leur cheveux et leurs dents étaient acérées comme des lames de rasoir. Ils se ressemblaient en tout point, si ce n’est que les orques étaient beaucoup plus violents et endurant. Pourtant, connaissant les capacités hors normes de mes soldats, je ne m’inquiétai pas de l’issue finale du combat ! Déposant le premier pas sur le toit, je tirai mon épée pour engager le combat. Abandonnant leurs arcs, les orques et les trolls firent de même et dégainèrent leurs épées qui étaient bien moins tranchantes que les nôtres. Décapitant la tête d’un premier orque, qui n’avait pas vu le coup venir, j’engageai le combat avec un troll et un orque. Manquant de coordination, j’esquivai la tentative du troll en me baissant, ce qui me permis de contre-attaquer en lui assénant un coup fatal dans la poitrine. L’orque quand à lui, entrepris de s’enfuir mais je ne lui en laissai pas le temps. Je le fis trébucher puis le désarma pour lui trancher la gorge. Autour de moi, mes compagnons avaient pris par à la bataille, et bientôt la cinquantaine d’ennemis ne fut qu’un tas de chair à nos pieds. « Bien, quelles sont nos pertes commandant El-ador ??
« Aucune perte, mais plusieurs blessés, mais sans danger mortel !
« Bien, qu’une unité reste sur le toit pour sécuriser le périmètre et pour rapatrier les elfes blessés. Le reste de la troupe, suivez moi, nous allons explorer ce bâtiment et débusquer les potentiels orques qui se sont enfuis. »
Empruntant les escaliers, nous pénétrâmes dans les profondeurs de cet endroit inconnu à tâtons et prudemment pour éviter les éventuelles attaques surprises. Bientôt, nous arrivions dans une salle immense ornée de fresques sur les murs représentant des dragons et des hommes en parfaite harmonie. Cette salle, devait être la Grande Salle qui offraient les banquets pour les invités de cette maison. Marchant au milieu des décombres de chaises et de tables cassés, je déployai mon unité afin de sécuriser la zone en ratissant les moindres partis du château. Restant dans la salle, avec seulement 5 elfes, les autres étant partis explorer les différentes parties du château, nous contemplions les fresques, ou du moins celle que le temps n’avait pas ravager par l’humidité ou la moisissure. Parcourant les murs avec ma main, je ressenti un énorme courant d’air frais derrière la fresque au dragon. Soulevant la fresque, je me retrouvai dans un couloir amenant à une porte close. Suivi de mes compagnons, j’ouvris la porte, en ayant pris soin de dégainer mon épée. Ce qui me sauva la vie. A peine la porte ouverte, une épée fondit sur moi et par pur réflexe brandit mon arme pour bloquer, me laissant une douleur circuler à travers mon bras gauche. Repoussant mon assaillant, et le blessant à la jambe, je me rendis compte qu’un groupe de rescapé d’orques s’était réfugié dans cette partie secrète du château. Malheureusement, il furent trop peu nombreux pour 5 elfes et moi même. Après avoir tuer le dernier ennemi, je pris enfin conscience de l’endroit où nous nous trouvions : une bibliothèque !!!! Des ouvrages par milliers reposaient sur des étagères immenses où l’on accédait par échelle aux livres inaccessibles ! Pensant aux découvertes et aux savoirs cachés dans ces ouvrages, je ne fit pas attention à El-Dénir, le plus jeunes elfe, qui entrepris d’ouvrir un ouvrage, et qui malheureusement s’effrita dû à son ancienneté et au maniement trop brutal du jeune soldat.
« Ne touchez plus à rien ! El-Dénir aller me chercher le commandant El-Ador. Dites-lui que je veux un rapport complet sur la sécurité du bâtiment. El-Bir faites parvenir une missive à la cité et à nos alliés pour les avertir de notre découverte. Qu’ils nous envoient leurs meilleurs chercheurs et leurs meilleurs scribes. Je veux que tous soient mis en œuvre pour pouvoir déchiffrer ses ouvrages. EL-Terul, allez chercher des hommes, et remettez de l’ordre dans la grande salle pour pouvoir mettre en place notre quartier général. Quand aux deux autres, amassaient les dépouilles des viles créatures qui souillent le sol de cet édifice, et faites brûler les corps à l’extérieur. Prenez autant d’elfes que nécessaire !!
« Bien sir !! »
Et tous les cinq partirent remplir les directives que je venais de leur soumettre. Je restais donc seul dans cette pièce de savoir, en m’extasiant déjà des découvertes qui seront faîtes ici…. | |
| | | Ciendre Apprenti Lord
Nombre de messages : 29 Date d'inscription : 03/11/2007
| Sujet: Re: [Animation 2] Vos créations Sam 8 Déc - 22:24 | |
| C'était un beau jour, avec des oiseaux qui chantaient, enfin la belle vie... Et nous ne pouvons pas savoir que ce jour la, ne serait pas tout à fait ordinaire, que ce jour la, une découverte surprenante datant de l'âge des dinosaures allait être dévoilé.Un éclaireur arriva au courant en sureur, après avoir couru plusieurs miles à pied, cela devait être fatiguant... Eclaireur : Sir Ciendre, j'ai une nouvelle à vous faire parvenir... Ciendre : J'éspère que c'est utile, sinon je te coupe tes jambes... Eclaireur : Euh...... Oui, bien sur, j'ai découvert une ruine près de vos terres. Une ruine abandonné et ancienne. J'y suis allé pour vérifier, si il y'avait un signe de vie, ou une civilisation inconnu, rien... Les ruines étaient que de pierre à perte de vue. Avec, au milieu, une végétation inconnu de nos données. Ciendre : Eh bien, cela est enrichissant et exitant, tu as échappé à la punition... En échange, je te récompense de tes actes, et je te nomme Guide de la prochaine expédition Eclaireur : Vous voulez y aller ?! Mais c'est dangereux, nous ne connaissons rien de cette endroit, de sa provenance, ni des sortilèges... Ciendre : Des quoi ?! Sortilèges ? Tu veux que je te tue maintenant ? Je ne crois pas à ces mots, encore moins à ces phénomènes. Je ne crois que ce je vois, et je n'ai jamais vu de quelquonque magie ou autre. C'est à prouver. Alors, me suis tu ? Tu seras récompencé par 100 pièces d'or. L'éclaireur était un homme adorant l'argent, 100 pièces d'or, était énorme et ne pouvait refuser cette offre, et décida de l'accepter sans parler, en secouant la tête. Ciendre : Bien, soldats ! Dîtes aux bataillons Desdia de se préparer, nous allons visiter des ruines anciennes. Soldats : Bien, Sir ! Nous y allons. Quelques heures plus tard, devant les portes de la ville, quelques centaines d'hommes étaient au rendez vous, accompagnés de chevaux, d'armes, de vivres, ceux qui fallaient pour vivre plusieurs jours/nuits. Crie de Guerre : Ennnnnn Routttteeeeee !!!! Soldats, soyez fort ! Après quelques heures de marche, les ruines étaient visibles. Le campement avait été placé près des ruines afin de rester en permanent, et d'établir de petits barricades autour afin d'éviter les intrus. Ciendre, et une dizaine d'homme pénétra dans les ruines, et n'allaient pas savoir qu'ils allaient vivre un enfer dans ces ruines. Soldats : Sir, il fait froid ici, nous aurions du ramener de quoi nous réchauffer... Nous avons seulement pris le strict minimum... Ciendre : Vous voulez mourrir ? Qui vous a appris à devenir fort, bande de chochotte.... Allez, je vais vous chanter l'hymne du royaume... << Soyez courageux, soldats ! Et la paix vous gagnera. Nous sommes les invincibles Nous sommes les protégés Du Royaume D'Eldoror. Ensemble, nous battrons les vilains Nous triomphrons ensemble Afin d'honorer notre chef, Ciendre ! >> Juste après les dernières paroles de Ciendre, une vois retentit. Une voix grave et sombre. Autres : Qui fait intrusion ici ? Partez individu, ou vous recevrez le chatîment du gardien des Ruines d'Isban. Troupes de Ciendre : Sir Ciendre ! Nous devons partir, cela devient trop risqué ! Vous avez bien entendu cette voix, n'est ce pas ? Tous les hommes se sauvèrent en courant comme des personnes ayant vu un monstre...Ciendre : Peuh, regardez moi ces trouillards, pas digne de figurer dans mon royaume, quand je sortirai d'ici, ils seront pendus, bande d'incapable... Ciendre évidemment, ne prenant pas compte de cette avertissement, alla toujours tout droit, pendant un moment, 10-15 min, puis se retrouva devant un mur bloquant son passage. Un mur inscrit d'écrito bizarre. rumcezesrevartteétisorénégetrovzennod
- Spoiler:
Donnez votre Générosité et traversez ce mur ! Ciendre : Hmmm, c'est pas difficile, il suffit de décortiquer ca, et je pourrai surement traverser le mur... Après plusieurs minutes de réflexions, il réussit à trouver, avec une méthode assez surprenante, il donna quelque chose d'invraisembable, une sorte de médaillon qui avait l'air précieux à ses yeux.... Le mur s'ouvra. Ciendre : Pfiou, je transpire déjà, vivement que je ne rencontre pas d'autres choses de ce type, je veux du combat.... Aussitôt, dit, aussîtot, un homme en armure d'argent entouré de lumière rouge apprarut, avec une lance d'une couleur noir... Cela ressemblait à un spectacle, quelque chose de bizarre, d'inimaginable... Ciendre était épanoui, à l'idée de découvrir ceci ici... Il pensait que c'était encore quelque chose d'explicable, que c'était une blague, et en essayant de le transpercait avec la pointe de son épée, il tomba... Il avait bien transpercait le corps, mais il était transparent... C'est alors que celui ci parle. Homme étrange : Eh bien, jeune homme.. Tes hommes t'ont t'il abandonné ? C'était la preuve qu'il n'avait aucune volonté, aucun courage d'affronter la réalité... Que se serait t'il passé en temps de guerre, ils auraient peut être déserté... Qu'en dis tu ? M'enfin, passons. Je suis la en temps que Guide, Guide des gens ayant une bonté pur, un coeur ouvert à tous. Même si tu ne le montres pas, au fond de toi, réside, ancré une énorme générosité, une énorme gentilesse. Moi, Gardien de ces ruines, gardien du secret de ces ruines. Je vais te réléver à toi, qui est parvenu jusqu'a ici, malgré les avertissements, les pièges. Je vais te montrer le secret du monde. Le secret du passé, du présent, et du futur. Toi seul connaitra ce secret... Ciendre resta surprise, avec de gros yeux... Il imaginait pas tous ce qu'il voyait, il croyait à un rêve, un cauchemar... Mais, s'en rendit compte que tous cela était vrai... Et ne pouvait nier son destin... Ciendre : Euhh... Je suis encore sous le choc, m'apprendre cela... C'est assez dur à avaler, dur à voir venir tous cela en un même moment. Vous, votre secret que vous me confiez... Mais ou cela se trouve t'il ? Dans un parchemin ? Un livre ? Sur une pierre ? Sur un anneau, un collier ? Gardien : Eh bien, cela se trouve dans une bibliothèque... Caché sous terre, protégé par les gardiens, enfin, moi... Je suis le seul gardien. Seul ma présence, et mon accord permet de dévoiler la bibliothèque.. Es tu prêt à découvrir le secret de l'humanité ? Ciendre : Oui, je suis tout prêt... Je pourrai rester ici des siècles, des centaines de siècle... Gardien : Bien, bien... Une porte s'ouvrit, et à l'intérieur, une bibliothèque pleine de connaissance se metta devant Ciendre. Une porte qui dévoile la connaissance. Une porte qui changera à jamais le destin de Ciendre.... [=HRP] Si y'a des choses incompréhensibles, c'est normal J'ai du faire ce Rp assez vite... J'avais oublié que la date limite, c'était demain... Et comme je suis pas la... J'ai du le faire maintenant M'enfin :p Bonne lecture et merci d'avoir lu [=HRP] | |
| | | littlesheep Apprenti Lord
Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 17/10/2007
| Sujet: Re: [Animation 2] Vos créations Sam 8 Déc - 23:14 | |
| Par big_nay et littlesheep.
Il courait depuis longtemps déjà. Sa démarche passait de la course à la marche assez souvent pour reprendre un pas de course cahotant peu après. On voyait bien qu'il était au bout de ses forces. L'épuisement, les blessures? Qui aurait pu le dire. Seule paraissait l'urgence d'arriver. L'éclaireur, car c'était l'éclaireur des lapins peureux, apercevait enfin le donjon ou lui et ses alliés se réunissaient. En remontant le chemin pierreux qui menait au donjon, il repensait au événements qui venaient de se passer depuis cinq jours. Il avait été envoyé en mission de surveillance sur les terres alentours. Depuis quelques temps de puissants seigneurs de la région guerroyaient contre des membres des lapins peureux. Le puissant seigneur Nyarl, membre de la non moins puissante ligue aile dorée, passait plus de temps sur les terres des lapins peureux que dans ses foyers, pourtant confortable. Et après quelques escarmouches, lui et littlesheep avaient convenu d'une trêve. De plus, nombre de lapins avaient subit les raids dévastateurs du belliqueux chevalier Netzo, un des piliers des chevaliers réunis. Mais après moult discutions, les lapins et les chevaliers avaient signé un pacte se promettant de cesser les attaques entre membres des deux guildes. Mais le lapin, peureux de surcroît, étant méfiant de nature, littlesheep avait envoyé l'éclaireur surveiller les terres proche de celle du seigneur Nyarl, et vérifier si personne des chevaliers réunis n'avaient tenté d'excursion, histoire de rançonner quelques bourgeois. C'est en revenant de sa mission que l'éclaireur avait fait une malencontreuse rencontre, un orc. C'était il enfui des troupes de littlesheep, ou de celle de bignay, qui paraît il tenterais lui aussi des maîtriser ces créatures monstrueuses. D'après les dernières rumeurs entendues dans les tavernes alentours, bignay aurait, depuis peu, acquis le savoir et la puissance nécessaire pour contraindre ces monstres d'indiscipline à une obéissance quasi aveugle. Toujours est il que la bête était là, devant lui, et avec l'intention manifeste d'en découdre. L'éclaireur sortit sa lame et fonça sus à l'orc. S'en suivi une mêlée violente, confuse, et sans pitié. L'éclaireur mit en fuite l'orc, mais dans l'affrontement perdit sa monture. Il souffrait lui même de multiples contusions et de blessures sans grande gravité. Son cheval, lui, avait eu la panse ouverte par les griffes de l'orc et ne mit pas longtemps à passer de vie à trépas. L'éclaireur prit ses armes, ses fontes, sa selle et ses harnachements et faisant contre mauvaise fortune bon coeur, parti d'un bon train vers le donjon des lapins peureux. Le trajet qui lui aurait prit deux à trois heures à cheval, lui prendrai la journée. Aussi décida t'il de couper à travers les vieux marais. Et c'est là que chemin faisant, il aperçu des ruines antiques. Sa surprise fut immense, il connaissait parfaitement les terres des lapins, les ayant parcouru en tout sens à la chasse. Mais jamais il n'avait remarqué de ruines à cet endroit. Abandonnant ses biens, ne gardant que ses armes, il s'élança en courant vers le donjon. Et c'est au bord de l'épuisement qu'il parvint enfin au portes.
Clac poc, clac poc, clac poc. Le pas clopinant de l'éclaireur martelait rapidement les marches qui mènent à la grande salle.
L'éclaireur: (J'espère qu'ils sont tous là. jamais ils ne voudront me croire.)
Clac poc, clac poc, clac poc.
L'éclaireur: (Halluciné, je ne suis point. Jamais ils ne voudront me croire.) « Compagnon, écoutez moi. Réveillez vous, cessez vos passes d'armes, lâchez les mignonnes que vous lutinez dans les recoins sombre et oyez. »
L'éclaireur: « Revenant de mission, je passais par le vieux marais, et là j'y découvris des ruines anciennes »
Littlesheep était affalé sur la table l'air miteux. Il cuvait encore suites aux débordements de la veille. Son visage grêlé reposant dans l'angle de son bras. Difficilement, il ouvrit ses yeux chassieux. A le regarder on avait l'impression que son entendement était enfoui mille pieds sous terre à l'autre bout du monde.
littlesheep: (Que me veux cet imbécile. Me réveiller comme ça, alors que je me remets difficilement d'une nuit encore une fois trop alcoolisé. Je ne me supporte plus sans boire jusqu'au coma. Il me parle de quoi cet idiot: des ruines? Qu'est ce qu'il veux que je fasse de ruines. Les ruines suivent suffisamment mon parcours pour que je n'ai pas envie d'aller en visiter d'autres. Les ruines, c'est moi qui les crée. Enfin écoutons le, nous déciderons ensemble ce qu'il faut faire.)
big_nay: (Enfin un truc intéressant à faire. Rien de mieux qu'un peu d'action pour se remettre d'une soirée bien arrosés, et qui sait, si on trouve un trésor,ça me fera toujours ça de plus)
littlesheep: (Bon, tout le monde semble bien décidé à les visiter ces ruines. Alors, allons y.) J'enfilais ma cote de maille, ma pelisse miteuse en peau de mouton, ma tête de loup sur mon casque conique, mon épée et ma hache d'arme, quelques dagues et des provisions: outre de clairet pour me rincer la bouche, et de l'eau de vie, indispensable, (j'ai mal à la tête.) « Tout le monde est prêt? Bon, sellons les bêtes et partons. »
Notre troupes se mirent en route pour traverser nos terres jusqu'aux ruines. Quelques fermes se dressaient ici et là. Leurs habitants nous regardaient passer d'un oeil méfiant.
littlesheep: (Par les entrailles de Baal, que le soleil me fait mal aux yeux. Regardez moi ces gueux. De la boue jusqu'aux genoux. Qu'ont ils a nous dévisager ainsi? Passons sans heurt, ne les punissons pas. Sans leurs tributs, nous en serions encore à piller les alentours. C'est moins fatiguant quand on a pas à se battre.) Je demandais: » Les ruines sont elles encore loin, Je n'ai pas envie de passer la journée le séant meurtri par ma selle. » « Non, Votre Crasse, nous arrivons juste après le coteau » me répondit ce bougre d'éclaireur le sourire aux lèvres. (Un jour il va dire un mot de trop, et j'aurais le plaisir de brandir sa tripaille dans mon poing serré. Enfin une pensé réconfortante par ce jour trop ensoleillé.)
big_nay: (Il aurait pu dire que c'était loin,ce maudit éclaireur. Et puis à chaque fois qu'on lui demande si on arrive bientôt, à chaque fois, il nous sort:"Bientôt, ne soyez pas impatient".Moi tout ce que je vois c'est que ça fait des heures qu'on marche et on est toujours pas arrivé. Mais il a raison cette fois le bougre, nous y arrivons!!)
Devant nous se dressaient les ruines annoncées. Elles avait bien pâles figures. Elles occupaient le centre d'un tertre qui surplombaient les marais s'étendant vers l'ouest. Nous étions aux aguets prêt à détaler comme des lapins au moindre bruit.
Littlesheep: (Des ruines ici, jamais je n'aurais pu l'imaginer. Je connais pourtant bien les terres alentours pour les avoir souvent parcourues. Mais jamais je n'ai vu de ruines ici. Folie de l'age ou des excès, peu importe, aujourd'hui elles sont là, autant les visiter.) « Descendons des bêtes, le parcours leurs serait trop difficile à l'intérieur des ruines. Nous explorerons à pied ».
Le sol était jonché de débris et de pierres brisées. Certaines devaient peser plusieurs centaines de tonneaux. Les murs à moitié effondrés, les toits écroulés rajoutaient comme à air de fête au tableau.
Littlesheep: (Qu'est qui a bien pu causer de tels dégâts. Et que l'on ne vienne pas me dire que c'est l'outrage du temps. Même en mille fois mille ans, le temps ne peu pas briser des monolithes de cette taille et envoyer promener les morceaux aux quatre coins des ruines.)
big_nay: « Tout ce voyage pour ça! Je m'attendais à des ruines plus impressionnantes. Elles sont entièrement détruite vos ruines,éclaireur. Quoi! c'est pour cela qu'on les appelle ruine! Merci, je le savais,tu me prends pour qui! Mais il y a des ruines qui en imposent,elles! Avançons. »
« Ici, un escalier » entendit je crier sur ma sénestre.( Oui, il y a bien un escalier derrière des amas de rocs). Après quelques efforts nous sommes parvenus à nous dégager un passage. Prudemment, nous descendîmes dans la lumière des torches, pour arriver à une crypte ou ce qui semble l'être. Et là, dans cette crypte des ouvrages manuscrits. Des centaines d'ouvrages, une bibliothèque, oui ça ne peut pas être autre chose. La plupart de ces livres étaient moisis, déchirés ou brûlés quand ce n'est pas les trois à la fois. Mais qu'importe, après en avoir discuté entre nous, nous étions d'accord sur une chose. Pas un seul d'entre nous ne sait lire! HAHAHA!!!
littlesheep: « Ce soir nous nous saoulerons en l'honneur des lettrés et des érudits. Rentrons. » big_nay: (Et moi qui voulais avoir de l'aventure et revenir avec un gros butin. J'aurais dû resté couché. Au moins,ce soir, on refera la fête.) « Hé! attendez moi!! » | |
| | | setra Lord Confirmé
Nombre de messages : 159 Age : 31 Localisation : Paradis Date d'inscription : 19/10/2007
| Sujet: Re: [Animation 2] Vos créations Dim 9 Déc - 14:34 | |
| - Citation :
- Un éclaireur arrive en trombe dans votre grande-salle d'audience et vous apprend la découverte de ruines de style ancien à quelques miles de votre village. Vous partez à la découverte de ces ruines et racontez son exploration, les péripéties, les pièges, et enfin la découverte d'une bibliothèque en bien mauvais état...
10 minutes aprés étre partis du chateau ils décovrirent des ruine,mais quelque chose attirait plus le regard de la garde royale:une bibliothéque
Trois hommes attendaient devant la porte immensément grande de la bibliothèque;c’était les gardes qui surveillaient l’entrée. Dés que le roi fût à cinq mètres des gardes,ces derniers se mirent au garde à vous. Le garde scruta tout d’abord le sol jonché de cadavres puis porta son regard sur les étagères démembrées de la bibliothèque sauf une qui avait miraculeusement échappé au massacre. Il ordonna à un de ses gardes d’aller voir de plus prés l’étagère restante. Dés qu’il fût à moins de deux mètres de celle-ci,une espèce de champ de force le rejeta violemment .Le souverain voulut essayer de voir lui-même la mystérieuse étagère malgré les avertissements des gardes apeurés. Mais le roi était comme poussé par une intuition divine. Dés qu’il arriva à moins d’un mètre,rien ne se passa. Il fît un pas de plus,et toujours rien ne se passa. Il était désormais à portée des livres. Il en prit un qui avait pour titre « Les royaumes de la mort »,puis il le reposa Deux secondes après,il flasha sur un autre livre « L’accès à l’immortalité ».Dés qu’il le prît,la mystérieuse étagère se mît à bouger et à laisser entrevoir un corridor sombre. Ce couloir avait l’air si…. Soudain une centaine d’ennemis avait été aperçu à deux cents mètresd’ici.C42tait des barbares,mais la mauvaise nouvelle ne vint pas seule!Il avait été aussi aperçu une soixante d’hommes;c’était de sarrasins,les pires ennemis du roi. Les gardes dirent au roi de se cacher ,et quelle meilleure cachette que ce couloir sombre et étrange!Le souverain fît un pas de plus et l’étagère se referma d’un coup sec. Les gardes accoururent à son secours,mais furent repoussés par le mystérieux champ de force. A l’intérieur de la bibliothèque,il y avait une dizaine de gardes et les douze meilleurs épéistes du royaume,dont le garde du corps personnel du roi,et c’est lui qui prît les commandes de la petite troupe qui ne pouvait refuser le combat. Les barbares s’étaient apparemment alliés aux sarrasins . Le combat allait être rude!D’un côté la qualité,de l’autre la quantité. Le garde,second du roi fît sortir de la bibliothèque sa troupe pour faire face à l’ennemi. Il avait un plan en tête. Il ordonna à ses hommes de préparer leurs armes. Dés que l’ennemi fût à portée,il ordonna de tirer. Une dizaine d’ennemis moururent. Puis une deuxième volée de flèches fût envoyée puis une troisième,une quatrième et enfin une cinquième. Il y eût au moins cinquante morts dans les rangs adverses,mais la riposte ne tarda pas. Le second ordonna à ses hommes de mettre leurs boucliers. La pluie de flèches s’abattit sur les boucliers énormes des défenseurs. Puis le second ordonna de se retrancher dans la bibliothèque,comme çà,comme la porte ne pouvait laisser passer que deux hommes en même temps,le poids n’était plus un avantage.!Les assiégés allaient pouvoir défendre la porte à deux contre deux! Les ennemis étaient désormais au corps à corps. Chacun des défenseurs pourfendait quatre ennemis avant de tomber à terre et d’être relayé par un autre soldat du roi. Tout se passait très bien jusqu’à ce que le chef des barbares fît son apparition. C’était une montagne de muscles. Le second du roi prît l’initiative de le combattre seul,mais il perdit son épée d’un revers de main du colosse. Le géant portait une énorme épée qui vînt s’abattre juste à côté du corps du second. Ce dernier vît que l’épée était plantée dans le sol,et que le chef avait du mal à la retirer. Il en profita pour prendre son poignard attaché à sa jambe et lui planta dans le cœur. Les troupes ennemies étaient désormais en sous nombre et fuirent donc. C’était une victoire .méritée,mais à quel prix!Il ne restait qu’une poignée de guerriers
dans le couloire caché où était enfèrmé le roi,se dérnier contiua son chemain et découvrit une fontaine. un ange était assis au dessus de la fontaine! - Citation :
- "bois l'eau"
le roi était come envouté et bu donc l'eau!! ET LA UN FAISSEAU DE LUMIèRE L'ENVAÏ!! et l'ange lui dit: - Citation :
- tu est devenue imortèle,maintenant repart dans ton royaume
tu a réussi car tu est le 7éme fils du 7éme fils d'arture!! et là le roi s'en alà ,il était devenue imortèle!!
petite image pour l'histoire:
j'ai penché pour un rp court et donc plus atirant!! il est plin d'action!! bone lécture
Dernière édition par le Lun 10 Déc - 9:11, édité 1 fois | |
| | | Nyarl Apprenti Lord
Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 04/11/2007
| Sujet: Re: [Animation 2] Vos créations Dim 9 Déc - 21:36 | |
| Un éclaireur arrive en trombe dans votre grande-salle d'audience et vous apprend la découverte de ruines de style ancien à quelques miles de votre village. Vous partez à la découverte de ces ruines et racontez son exploration, les péripéties, les pièges, et enfin la découverte d'une bibliothèque en bien mauvais état...
Nous partîmes par un joli matin, heureux de nous changer les idées et impatients de ramener à notre bon Roy les innombrables trésors que ne pouvaient manquer de contenir ces ruines si mystérieuses. L’air était frais mais la journée s’annonçait radieuse, ce qui nous rendit fort guillerets, limite gambadants, alors que nous traversions de vertes prairies. Seules quelques colonnes de fumée au loin nous rappelaient que l’époque était à la guerre et qu’à notre retour, il serait grand temps de renforcer les défenses du royaume.
Cela, pourtant, n’entachât en rien l’humeur badine de la petite trentaine d’hommes qui m’accompagnaient. D’autant que notre éclaireur était un bon : nous nous perdîmes seulement deux fois…
C’est donc la fleur entre les dents, au son de fifres et de cornemuses que d’aimables compagnons n’avaient pas manqué de ressortir de leur paquetage pour égayer notre marche, que nous tombâmes sur un orc.
Il fut aussi surpris que nous : nous interrompions son déjeuner !
Assis sur un gros rocher, il commençait à savourer ce qui ressemblait fort à un jambon, bien que, détail dérangeant, des orteils étaient visibles à l’extrémité dudit en-cas.
Nous nous dévisageâmes une longue minute. La créature était extrêmement massive, le visage recouvert d’une cagoule qui ne laissait voir que l’immonde gueule équipée de crocs longs comme des couteaux de boucher. Sur son torse, presque recouvert par des traces de sang frais, un blason en forme de lapin surmonté des lettres LS… Malédiction ! Un séide de Lord Littlesheep, à n’en pas douter. La partie s’annonçait serrée.
Alors que je réfléchissais au son des claquements de dents et des gémissements de mes compagnons, l’orc nous apostrophât en ces termes :
« LA BOUFFE OU LA VIE ! »
Notre sang ne fit qu’un tour, nous agîmes immédiatement, nous ruant tous sur la charrette de victuailles. Même si nous allions regretter nos chapons et autres pâtés, nous tenions là une occasion inespérée de sauver nos vies à bon compte. Et ceux qui nous taxeraient de couardise n’ont de toute évidence jamais rencontré un orc au détour d’un sentier par un petit matin de printemps !
Le colosse commençât à fouiller dans nos réserves et semblât satisfait, une esquisse de sourire se dessinant même dans sa face porcine. La tension redescendit d’un cran et nous commencions à respirer lorsque s’abattit le premier coup de jambon à l’os ! Il fauchât deux de mes camarades qui valdinguèrent à plusieurs pas de là, la mâchoire défoncée, morts avant d’avoir pu s’en rendre compte.
Ce fut un massacre. Bien que fort pesante, la bête frappait à une vitesse presque surnaturelle. Les hommes et les dents volaient en tous sens et je ne sais combien survécurent hormis la poignée qui m’entraîna dans une course effrénée sous le couvert de la forêt.
De longues minutes plus tard, à bout de souffle, nous nous arrêtâmes, qui adossé à tronc, qui affalé à même le sol, livides et encore tremblants de la frayeur qui avait envahit nos êtres. En tendant l’oreille, nous pouvions percevoir quelques chocs sourds et des râles d’agonie qui allaient déclinant. Je ne voulais pas que l’image du prochain repas de l’orc puisse s’imposer à l’esprit de mes compagnons et leur intimait donc l’ordre de reprendre notre chemin. Il était trop tard pour l’héroïsme et notre mission nous attendait. Par chance, si je puis m’exprimer ainsi, notre éclaireur faisait partie des survivants et il se mit de suite à tenter de se repérer.
Il apparut que nous étions fort proches de notre destination et c’est après avoir franchi un immense roncier que nous aperçûmes les premiers vestiges. Devant s’étalaient quelques bâtiments presque entièrement délabrés : murs lézardés, toits défoncés, portes dégondées….
Nous nous séparâmes afin de ne pas perdre plus de temps encore. C’est au bout d’une bonne heure et demie que nous entendîmes un cri suivi d’un bruit mat et d’un râle. Notre éclaireur, encore lui, venait de trouver l’entrée d’un souterrain en marchant sur une trappe de bois vermoulue cachée par les décombres. Il n’était pas trop amoché après sa chute : juste une épaule luxée…. Nous confectionnâmes quelques torches puis descendîmes voir de quoi il retournait.
Nous nous trouvions dans une galerie haute de près de deux mètres, taillée à même la roche et soutenue de loin en loin par des voûtes maçonnées avec grand talent. Chaque pierre était sculptée à l’image d’un visage, certains représentant des créatures qui ne nous évoquaient rien d’autres que de vieilles légendes ou des contes pour enfants. Leur précision était telle qu’il nous semblait être observés par des centaines d’yeux. Tandis que nous avancions prudemment, l’air semblait se rafraîchir et une odeur désagréable achevât d’accroître notre malaise. Nous marchâmes un long moment, perdant la notion du temps et nous inquiétant de la taille de nos torches qui allait diminuant bien trop vite à notre goût. Leurs flammes chancelantes paraissaient donner vie aux faciès grimaçant sous lequel nous passions. Nous pressions le pas dans l’espoir de trouver l’issue de cet interminable tunnel quand la première torche rendit l’âme. Les autres ne tardèrent pas à suivre. Notre angoisse devint telle que nous croyions entendre des ricanements tout autour de nous.
Maintenant aveugles, nous dûmes nous résoudre à avancer en tâtonnant, nos mains ne quittant pas le mur. Quand il nous arrivait de toucher une des arches sculptées, nous ressentions comme une chaleur se dégageant des visages. La pierre elle-même nous paraissait plus tendre à ces endroits, presque souple.
Un de mes compagnons hurla, nous faisant tous sursauter. C’était un cri long et rauque, venant du plus profond de son être. Lorsque nous arrivâmes à le localiser dans les ténèbres, il était accroupi au milieu du tunnel, prostré et tremblant de tous ses membres. Malgré nos sollicitations, il ne pu nous de quoi il retournait. Seuls quelques balbutiements sortaient de ses lèvres comme un murmure : « maudits…visages… pas en pierre… langue… atroce… Eileen… jamais…. Eileen… Eileen…. » Eileen était sa femme. Nous ne pûmes rien en tirer de plus et finîmes par le prendre sous les bras pour continuer.
Le malaise était total. Cela semblait faire une éternité que nous avancions, la soif commençait à se faire sentir. Nous envisagions de rebrousser chemin quand il nous semblât entrevoir un vague lueur tremblotante qui se confirma après quelques dizaines de mètres. Nous pouvions même entendre le crépitement d’un feu. Alors que notre peur refluait lentement et qu’un léger sourire de soulagement se dessinait sur nos visages, Helmut, l’un de mes plus vieux amis, se rua en direction de la lumière. Il nous criât : « Une salle ! Une salle ! » et se mit à rire comme damné en accélérant encore sa course. Alors qu’il passait sous la dernière arche, une volée de fléchettes projetées avec force des visages grimaçants stoppa net son élan, son rire, sa vie et notre début d’espoir.
Choqués et tremblants de tous nos membres, nous nous approchâmes du corps de ce pauvre Helmut. Avec mille précautions, nous le retirâmes de sous cette arche de mort et l’adossâmes contre le mur. D’où nous étions, nous pouvions en effet apercevoir l’entrée de la salle ainsi que les reflets dansants d’un feu de cheminée. Mais comment passer ? Après de longs débats, nous décidâmes d’utiliser les vêtements de notre infortuné compagnon pour en faire des bandes de tissu. Puis, avec d’infinies précautions, nous en couvrîmes les visages les plus proches du sol de part et d’autre de la galerie. Nous espérions créer ainsi un angle mort qu’il nous serait possible de franchir en rampant, ce que nous fîmes sans tarder. Dans l’ensemble, cela se passa bien : seul notre éclaireur reçu une fléchette dans la jambe…
Nous nous redressâmes et franchirent le seuil d’une pièce pas très grande dont l’ensemble des parois était sculpté. D’innombrables formes s’entremêlaient qui semblaient s’animer sous les lueurs de l’âtre. Une table basse encombrée de quelques victuailles et de livres abimés ainsi qu’une petite chaise occupaient un angle éclairé par une énorme bougie dont les coulures souillaient le sol. Une vieille paillasse complétait l’ameublement de ce lieu hors du monde. Quant au propriétaire, il se tenait devant nous.
Il ne dépassait guère un mètre dix, la peau verdâtre, les oreilles pointues et deux grands yeux fermés. Un gobelin à n’en pas douter. Habillé d’une sorte de tunique et d’un pantalon ample, avec une simple ceinture d’une rude étoffe noire pour maintenir le tout. Il semblait méditer : les jambes en grand écart facial, ses pieds posés sur deux gros moellons, le bras gauche tendu devant lui nous présentant la paume de sa main, tendis que la droite était perpendiculaire à son torse, posée contre le sternum. Derrière lui se dessinait une petite porte, seule issue autre que celle que nous venions d’emprunter.
Nous nous entreregardâmes en silence et esquissèrent quelques pas chassés en vue de traverser la pièce sans déranger l’étrange nabot. Nous aurions du nous douter que le raffut fait avant d’arriver n’avait pu manquer de l’alerter sur la présence d’intrus…. Sans ouvrir un œil, il secoua la tête de gauche à droite en faisant claquer sa langue : « Tututututu. Si passer vous voulez, me battre vous devez ! » Ses paroles nous laissèrent d’abord sans voix, puis la tension accumulée depuis le début de la journée explosa en un fou rire inextinguible. Fou rire qui fut couvert par un cri du gob : « WATAI ! » suivit du « RHEEEeeeeuuuuuuuuuuuuuuu…. » exhalé par le ventre de mon compagnon de droite dans lequel venait de s’enfoncer talons verdâtre. Le gob replia légèrement sa jambe, fit pivoter son pied, et planta vigoureusement deux orteils dans les narines qui maintenant étaient à sa portée, puis d’un coup sec, il « crouincha » le nez de mon camarade, l’envoyant bouler tête la première contre le sol, en laissant malgré tout ses bottes arrimées au sol. A peine avions fini d’écarquiller les yeux que le petit combattant avait fait un bond incroyable, jambes repliées sous lui, comme au ralenti, pour se retrouver à hauteur du visage de mes deux derniers camarades. Les deux jambes se déplièrent en même temps : mes amis valdinguèrent chacun à un bout de la salle, qui une mâchoire derrière la tête, qui un menton au niveau des arcades sourcilières. J’essayais maladroitement de me reculer tandis que l’affreux armait son bras droit dans un ample mouvement et « PAF ! » un coup de jambon à l’os s’abattît sur son crâne ! L’orc de Lord Littlesheep était là, des fléchettes plantées dans le corps dont il ne semblait pas percevoir la présence, dont une fichée verticalement sur le haut de son crâne. Il me dévisageait, semblant vouloir réfléchir (sisi) et, incroyable, parut y parvenir. Il farfouilla dans ses vêtements et en ressortit un rouleau de papier chiffonné et graisseux qu’il me tendit, bredouillant ce qui ressemblait à un : « Sorry ». Puis il se baissa, attrapa le gobelin par un pied, me tourna le dos, et repartit d’où il était venu, déclenchant une nouvelle fois le piège sans plus y prêter attention, trainant derrière lui un petit corps qui allait à n’en pas douter faire un délicieux goûter.
Je restais interdit un long moment, jusqu’à ce que j’entende une toux rauque. L’éclaireur était toujours vivant ! Sans ses bottes, les narines immenses, la jambe inutilisable et affligé du plus beau torticolis qu’il me fut donné de voir, mais en vie ! Je l’allongeais délicatement près du feu, lui donna un peu d’eau trouvée sur la table et me dirigeais vers la petite porte. Elle s’ouvrit sans le moindre grincement, découvrant une pièce poussiéreuse au possible qui contenait de nombreux rayonnages de bois vermoulu sur lesquels finissaient de moisir de gros volumes reliés de cuir. Le tout était couvert de toiles d’araignées, de moisissures blanches et moussues, de déjections de petits animaux. J’allais commencer mes recherches lorsque me revint à l’esprit le rouleau que m’avait confié le massif messager du leader des Lapins Peureux : j’étais convié à une tea party chez mon redouté mais néanmoins cordial adversaire….
Je me senti envahi par une immense lassitude. | |
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